02-02-2020 Le sentier du dragon
Lieu : | St Georges d'Orques | |
Date : | 2 février 2020 | |
Responsable : | Nathalie Riquet | |
Co-organisatrice : | Valérie Ackermann | |
participants : | 28 |
Nous nous sommes retrouvés sur notre parking habituel à Clermont l'Hérault, direction St Georges d''Orques. Arrivés sur le parking du stade, quelle ne fut ma surprise de compter 28 participants (es) !
Nous voilà donc partis, sous un ciel quelque peu voilé. Chemin faisant, nous sommes passés par les Châteaux de Fourques et de l'Engarran où Gérard a voulu nous donner une leçon de Français : qu'est-ce que le repos du guerrier ? Après moultes discussions, nous avons décidé que ce serait le repos des Amazones ! Ce qui mit fin au débat. Après avoir longé le domaine de Biard et la Mosson, nous sommes allés jusqu'à Lavérune, où chacun a pu admirer les beaux jardins et la belle porte sculptée du château des Evêques. Après avoir quitté la ville, nous avons cheminé sur des sentiers jusqu'au Château St Martin transformé en clinique psychothérapique. Nous nous sommes arrêtés en face et avons mangé tant et plus, comme d'habitude. Et le soleil nous a fait le plaisir de se montrer. Il faisait bon. Un peu plus loin, nous sommes passés près de l'Abbaye de Vignogoul et avons marché à travers la plaine et les puechs.
Les kilomètres commençaient à se faire sentir et 2 personnes, avec l'aide de Valérie, ont pris un raccourci pour nous rejoindre un peu plus bas. Enfin, quelques kilomètres plus loin, nous étions en vue de St Georges d'Orques. Nous avons admiré la statue figurant le chevalier terrassant le dragon. Après un petit détour par le village, en passant par l'église dans laquelle trônait encore une très jolie crèche, nous avons pu admirer le symbole de St Georges sur le fronton de l'édifice. Après être passés par la rue Pigalle (et oui!) où nous avons conduit ces messieurs, nous avons poussé jusqu'à la nouvelle mairie où un artiste avait habilement travaillé le métal pour figurer St Georges tuant le dragon. Celle-ci a été très appréciée des participants.
Puis, la Cave coopérative, dont la renommée des vins n'est plus à faire, a surgi. Enfin, nous avons retrouvé nos voitures avec délice, sans repos du guerrier (ou l'histoire ne le dit pas) ni café, au grand dam de certains qui ont eu en ligne de mire l'usine Jacques Vabre qui les a nargués de toute sa hauteur tout au long de la randonnée.
Malgré les 21,5 km, l'ensemble des randonneurs(euses) a apprécié cette sortie plutôt différente. Je n'ai entendu personne se plaindre, à moins que je ne sois devenue sourde.
En tout cas, merci à tous pour votre bonne humeur et à Annie qui a bien voulu être mon serre-file.